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Olivier Cena in Télérama

La responsabilité de certains se résume alors à trouver une originalité qu'ils puissent utiliser comme signe de reconnaissance. Joël Ducorroy, par exemple, expose des textes écrits sur des plaques émaillées - et c'est vrai que, jusqu'à ce qu'il trouve ce qu'il appelle « son truc », en 1981, personne n'avait employé les plaques minéralogiques. Une galerie réputée le défend ; les centres d'art l'exposent ; on ne peut que se réjouir d'une telle réussite professionnelle.


Dominique Blanc in Connaissance des Arts
Joël Ducorroy, artiste plaquetitien. Pas de meilleure raison sociale que celle-ci pour lui qui souhaite avant tout « changer l'image de l'artiste »... suite

Jean-Max Colard in Les Inrockuptibles
Art : Selon les philosophes, l'homme habite le monde par le langage. Alors, par esprit de système et par provocation, Joël Ducorroy est allé au bout de cette logique.... suite

In Nice-Matin
Du Louvre à l'art plaquettaire, on voit mal le chemin, à moins de lire entre les signes. Joël Ducorroy appartient à ce type d'individus qui cultivent le paradoxe ... suite

Jean Louis Pradel in L’évènement du jeudi

Il était temps de mettre bon ordre à la circulation affolée des images ! Pour contrôler cette anarchie visuelle, une seule solution : « la plaque minéralogique » ! Alors tout s'éclaire. Encore fallait-il trouver un spécialiste. Le sort voulut que ce soit Ducorroy Joël, petit-fils, de dada. La révélation d'une telle « immatriculée conception » de l'image ne lui apparut pourtant pas dans un embouteillage. La route des images devient plus sûre et l'art contemporain, parfaitement réjouissant.

Propos rapportés in Nouvelles de l’estampe
C'est assez tardivement que les œuvres sur papier sont apparues dans mon travail. En 1991, plusieurs galeries se sont associées pour montrer dix ans d'activité... suite


Sabrina Costanzo in Le Figaro
Résumer un appartement en mille mots. C'est la prouesse qu'a accomplie Joël Ducorroy dans son « appartement témoin ». L'œuvre est présentée dans le cadre de l'exposition « L'appartement témoin de son temps » organisé par le Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement des Hauts-de-Seine (CAUE 92)... suite

Michèle Champenois in Le Monde
Le clou de l'exposition reste une installation commandée par le Confort Moderne à Poitiers en 1992 et réinstallée par l'artiste Joël Ducorroy. Un appartement fantôme extrêmement présent et exact, avec des mots pour désigner les choses, ces Choses qui intriguaient tant Georges Perec et qui, ici, interrogent en direct le visiteur.

Lucilla Sacca in catalogue Segnali inquiet
Il sottotitolo del catalogo della personale tenuta nell'ottobre 2002 alla galleria baudoin-lebon di Parigi definisce Joël Ducorroy, artiste plaquetitien... suite